Expressions liées à la météo-histoire comme exemple

Une histoire contenant des expressions sur la météo. 

    Il est très important de connaitre les expressions les plus employées par les francophones. Surtout pour ceux qui veulent améliorer leur langue française et parler comme les natifs. 

    La météo est un thème très important pour les conversations françaises. C'est pourquoi dans les lignes suivantes, nous allons mettre en évidence quelques expressions courtes et utiles liées à ce thème par le biais d’une histoire amusante. 

    Ces expressions sont : un soleil radieux, il fait doux, il fait gris, c’est menaçantça gronde, pleuvoir des cordes. Leur explication se trouve juste au dessous de l'histoire.

1-L’histoire :

            Une promenade dans la nature 

    Dès mon enfance, j'ai aimé me promener dans la nature. Mon bonheur était de contempler ses magnifiques paysages et de découvrir ses secrets. Un jour, le climat était beau, il y avait un soleil radieux, l’air frais et il faisait doux.  Alors, j’ai décidé de sortir de la maison pour faire du footing, attirée par le chant d'oiseaux, l'odeur agréable des fleurs et leurs couleurs séduisantes. J'ai avancée en entrant de plus en plus dans la forêt sans rendre compte du temps ni de l'espace. Je me suis réjouis de voir des singes sautaient d'un arbre à l'autre, des lapins se manifestaient puis se cachaient derrière l'herbe, les gouttelettes d'eau brillaient comme des diamants sous les rayons du soleil. 

Soudain, un coup de tonnerre qui s'est éclaté m'a surprise. Je me suis tremblée de peur. Je me suis tournée autour de moi, je ne connais pas l'endroit, ni le chemin du retour. J'étais au fond de la forêt toute seule, un mélange de sentiment m'a envahi, angoisse, peur et inquiétude. J'ai levé mes yeux vers le ciel, il faisait gris, le temps a subitement changé, « c’est menaçant, que dois-je faire » j'ai murmuré avec une voix tremblante. Après un certain temps, des éclairs illuminaient suivis des tonnerres successifs et de plus en plus intenses, j’ai ajouté « ça gronde, les nuages condensés annoncent l'arrivée d'une averse, il faut que je trouve une solution. ». J'ai commencé à courir, je ne savais pas ma destination mais l'important est de trouver un abri avant qu'il commence à pleuvoir des cordes.

Histoire imaginaire


Expressions liées à la météo-histoire comme exemple
Expressions liées à la météo

2-L'explication des expressions citées dans l’histoire précédente :

a-   "un soleil radieux" : c’est un soleil agréable et lumineux qui brille d’un vif éclat.

b-  "il faisait doux (il fait doux)" : le temps est agréable, la température est idéale, il ne fait ni chaud ni froid.

c-  "il faisait gris (il fait gris)" : cette expression désigne le temps quand le ciel est couvert et quand il y a beaucoup de nuages.

d-   "c’est menaçant" : il menace de pleuvoir, un temps nuageux, un temps gris.

e-  "ça gronde" : c’est une expression qui indique la présence des tonnerres et des éclairs annonçant l’arrivée d’un orage.

f-   "pleuvoir des cordes" : cette expression est employée généralement quand il pleut très fortement, à verse et à grosses gouttes.

Une histoire sur l'importance des parents dans notre vie

Une histoire émouvante 

    Les parents sont les bougies qui illuminent notre chemin, leur amour illimité et leurs conseils nous ouvrent des portes vers un meilleur avenir.

Une histoire sur l'importance des parents dans notre vie
L'importance des parents


Bénédiction de la morne maison

    Aujourd'hui, je vais faire le premier entretien de ma vie pour un poste prestigieux dans une grande entreprise. Et si je suis accepté, je quitterai pour toujours cette maison sombre, et je me reposerai de mon père, de ma mère et de leurs reproches constants à mon égard. 

    Le matin, je me suis réveillé tôt et j'ai pris une douche, mis les vêtements les plus beaux et parfumés. Quand j’étais sur le point de sortir, il y avait une main qui tapotait sur mon épaule à la porte. Je me suis retourné et j'ai aperçu ma mère et mon père souriants, malgré leurs yeux flétris et les symptômes de maladie évidents sur leurs visages. 

    Ils m'ont remis de l'argent et m'ont dit : "nous voulons que vous soyez positif et confiant en vous-même et que vous n'hésitiez sur n’importe quelle question." 

    J'ai accepté le conseil à contrecœur et j'ai souri en gémissant de l’intérieur : "même dans ce moment-là, ils n'arrêtent pas de me donner des conseils, comme s'ils essayaient délibérément de gâcher mon humeur dans les moments les plus heureux de ma vie."

     Je me suis précipité hors de la maison, j'ai pris un taxi et je me suis dirigé vers l'entreprise. 

    Dès que je suis arrivé et que j'ai franchi le portail de l'entreprise, j'ai été étonné. Il n'y avait pas de gardes à la porte et pas de personnel d'accueil à l'exception des panneaux indiquant le lieu de l'entretien. 

    Lorsque je suis entré par la porte, j'ai remarqué que sa poignée était sortie de sa place et était susceptible d’être brisé si quelqu'un la heurtait. En ce moment, je me suis rappelé les conseils de mes parents lors de ma sortie de la maison pour être positif, alors j'ai immédiatement remis la poignée en place et l'ai bien serrée. 

    Puis j'ai suivi les panneaux directionnels, j'ai traversé le jardin de la compagnie et j'ai trouvé les couloirs inondés d’eau qui flottait de l’un des bassins remplis  jusqu'au bout.  Le jardinier semblait être occupé à autre chose. Je me suis souvenu que mon père et ma mère m'avaient réprimandé pour avoir gaspillé de l'eau, alors j'ai retiré le tuyau d'eau du bassin plein et je l'ai placé dans un autre bassin tout en réduisant le pompage du robinet afin qu'il ne se remplisse pas rapidement jusqu'au retour du jardinier. 

    Ensuite, je suis entré dans le bâtiment de l'entreprise. En suivant les plaques indicatives et en montant les escaliers, j'ai remarqué l'énorme quantité d'ampoules allumées en plein jour, alors je les ai involontairement éteintes de peur des cris de mon père et de ma mère, qui sonnaient dans mes oreilles partout où j'allais. 

    Quand je suis arrivé à l'étage supérieur, j'ai été surpris par le grand nombre de candidats à ce poste. J'ai inscrit mon nom sur la liste et je me suis assis en attendant mon tour. 

    En regardant les visages et les vêtements des participants dont certains sont fiers de leurs diplômes d’universités américaines, je me suis senti inférieur à mon apparence devant ce que je voyais. 

    J'ai remarqué aussi que tous ceux qui entraient pour l'entretien sortaient en moins d'une minute. Alors, je me suis dit : "si ces gens, avec leur élégance et leurs diplômes, ont été rejetés, est-ce que je serais accepté ?" J'ai donc décidé de me retirer de cette compétition perdante avec dignité  avant qu'on me dise : "Nous vous présentons nos excuses."

     Mais, je me suis rappelé encore une fois les conseils de mon père et de ma mère avant de sortir de la maison : "Nous voulons que vous soyez positif et confiant en vous-même." Donc, je suis resté dans l’attente de mon tour, comme si leurs paroles m'avaient donné des charges extraordinaires de confiance en moi. 

    Ce n'est que quelques minutes après, l'employé a appelé mon nom pour entrer. Je suis entré dans la salle d'entretien et je me suis assis sur la chaise en face de trois personnes qui m'ont regardé et ont souri largement, puis l'un d'eux a dit : "Quand voudriez-vous commencer le travail ?" 

    J'ai été abasourdi pendant un moment et j'ai pensé qu'ils se moquaient de moi, ou que c'était l'une des questions de l'entretien et qu’il y avait ce qui se cachait derrière. Pourtant, j’ai repris confiance en moi en se rappelant du conseil de mes parents de ne pas trembler devant n’importe quelle question et je leur ai répondu : "Après avoir passé le test avec succès, si Dieu le veut." 

    Un autre a dit : "vous avez réussi l'examen et c'est fini." Je lui ai répondu: "Mais aucun d’entre vous ne m'a posé même une seule question." 

    Le troisième a dit : "Nous sommes bien conscients qu'en posant des questions seulement, nous ne serons pas en mesure d'évaluer les compétences  des candidats. Nous avons donc décidé de rendre notre évaluation de la personne pratique. Nous avons conçu une série de tests pratiques qui nous révèlent le comportement du candidat, le degré de positivité dont il jouit et à quel point il est intéressé par les capacités de l’entreprise. Vous étiez la seule personne qui a cherché à corriger tous les défauts que nous avons délibérément mis dans le chemin de chaque candidat, et cela a été enregistré par des caméras de surveillance placées dans tous les couloirs de l'entreprise." 

    Ce n’est qu’alors que tous les visages ont disparu devant mes yeux, j'ai oublié le travail, l'entretien et tout et je n'ai vu que l'image de mon père et de ma mère. C'est la grande porte qui semble dure, mais à l'intérieur se trouvent la miséricorde, l'affection, l'amour, la tendresse et la tranquillité. 

    J'ai ressenti un désir irrésistible de rentrer à la maison pour les embrasser, pourquoi je n'avais pas vu mon père et ma mère avant ? 

    Comment ai-je pu fermer les yeux sur eux, sur leur don inconditionnel, sur leur tendresse sans limites, sur leurs conseils sans consultation… ? 

    Alors, ne vous ennuyez pas des conseils de vos parents, car il y a un grand amour derrière eux que vous réaliserez un jour quand vous serez dans leur situation.

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Belle histoire pour enseigner la valeur de l’argent aux enfants

 Une histoire et une leçon importante  

    En général nos enfants ont l’envie d’acheter tout ce qu’ils veulent. Ils demandent et demandent sans savoir qu’on ne peut pas toujours avoir tout ce qu’on veut et que l’argent coûte cher à gagner. C’est pourquoi, enseigner à un enfant la valeur de l’argent est une leçon fondamentale pour sa vie.

Une histoire pour enseigner la valeur de l'argent à nos enfants
Une histoire pour enseigner la valeur de l'argent à nos enfants


L’histoire du père sage

    Il était une fois un homme riche qui voulait enseigner à son jeune fils une leçon qu'il n'oublierait jamais tout au long de sa vie!

    Dans la soirée, l'homme a appelé son fils, qui n'avait que douze ans et lui a demandé d'aller travailler le matin pour lui apporter de l'argent.

    Le garçon a été étonné et a dit :" Mais papa, nous sommes riches et nous avons beaucoup d'argent, alors pourquoi devrais-je travailler ?" Le père a crié en disant : "Faites ce que je vous dis sans discuter."

    Le matin, le garçon s’est dirigé vers l’endroit où les travailleurs se rassemblaient et il les a interrogé quand le travail commencerait, combien il gagnerait de ce labeur  et quelle était la nature du travail. 

    Mais, il n'a pas apprécié l’idée et a décidé de rendre visite à sa mère, qui était séparée de son père à cette époque. Il a fait semblant de pleurer devant elle et lui a raconté ce qui s'était passé, alors elle a demandé au garçon combien devrait-il gagner ce jour-là. Il lui a répondu : "dix sous, maman !"
La mère a ajouté : "ton père s'est cru sage pendant longtemps, c’est pourquoi je me suis séparée de lui, mais n'aie pas peur, je te donnerai les dix sous et n'irai pas travailler." 

    Le soir, le garçon est rentré chez lui et a donné les dix sous à son père qui les a pris sans rien dire et les a jeté par la fenêtre. Puis il a observé son fils  et a constaté qu'il s'en fichait et n'était pas touché par ce geste!

    Le deuxième jour, le garçon est retourné chez sa mère, il est resté jusqu'à la fin de la journée. Elle lui a donné les dix sous qu’il a apportés à son père. Ce dernier les a pris et les a jeté à nouveau par la fenêtre et a  remarqué que le garçon s'en fichait toujours.

    Cette situation s'est répétée pendant trois jours et chaque soir, l'homme prenait les dix sous du garçon et les jetait par la fenêtre. 

    Le quatrième jour, l'enfant est allé chez sa mère mais elle n'était pas à la maison, alors il était très triste  et se trouvait obligé cette fois ci d'aller au travail pour plaire à son père et gagner de l’argent.     

    Ce jour-là, le garçon s'est beaucoup fatigué. Il s'est senti épuisé, humilié et victime de préjugés. Pourtant, il a  tout supporté jusqu'à ce que la journée se termine. Puis, il s’est rendu impatiemment chez son père qui lui  a demandé : "Où est l’argent ?"
Il manifestait des signes de fatigue et d'épuisement en disant : "Ça y est, mon père, tiens!"

     L'homme l'a pris, l'a jeté par la fenêtre et a contemplé le visage de son fils, il a remarqué que cette fois est différente des autres. L’enfant a été touché, ses larmes ont coulé sur ses joues et il a dit d'une voix tremblante : "Pourquoi papa, j’ai enduré la fatigue et l’humiliation de la part de l'employeur toute la journée ?"

    En ce moment, le sage a souri et lui a expliqué : "Personne ne ressent la valeur de l’argent sauf ceux qui en sont fatigués. Rappelle-toi toujours que l'argent qui vient sans se fatiguer va dans les choses les plus triviales sans s'en rendre compte. Quant à l'argent qui vient après un effort et une souffrance, doit être mis à sa place ou dépensé à son bon endroit."

    Sachons que l'éducation dans l’enfance est comme graver sur une pierre, elle n'est jamais oubliée ni effacée.

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Des histoires pour enfants, porteuses de valeurs éducatives

 Des petites histoires inspirantes pour les enfants

    Les parents aiment souvent lire à leurs enfants des histoires porteuses de valeurs éducatives et qui leur permettent de se développer et de découvrir le sens profond de la vie. Voici donc cinq histoires qui sont très utiles pour nos enfants.

Des histoires pour enfants, porteuses de valeurs éducatives
Des histoires pour enfants

L'histoire de l'élève paresseux 

    Paul était un élève paresseux. Il détestait les études et n'aimait pas faire ses devoirs. Un matin, il sortait de la maison pour aller à l'école comme d’habitude. Mais quand il est arrivé devant sa porte, il a décidé de ne pas y entrer et de se diriger vers le champ pour jouer. 

    Malheureusement, il s’est ennuyé rapidement car il n'a trouvé personne avec qui jouer là-bas. Après un certain moment, il a rencontré un chien et lui a dit : "Chien, jouons ensemble !" Le chien lui a répondu : "Je n'ai pas le temps de jouer.  Les moutons m'attendent pour les protéger du loup et des voleurs."

    Paul a continué, alors, de marcher dans le champ, jusqu'à ce qu'il aperçoive un oiseau, il lui a  appelé en disant : "Ô oiseau, viens me chanter de ta belle voix !" L'oiseau lui a répondu : "Comment puis-je te chanter, mon seigneur, alors que je dois construire mon nid."

    Paul a poursuivi son chemin, jusqu'à ce qu'il rencontre cette fois ci une abeille, il l’a suppliée de jouer avec lui : "Abeille, s'il te plait assieds-toi et joue avec moi." L'abeille s’est excusée : "Comment puis-je jouer avec toi ? Je dois me dépêcher de recueillir le nectar des fleurs pour en faire du miel."

    Paul a réfléchi beaucoup et s’est trouvé le seul à détester le travail ;  Il s'est grondé et s’est hâté de retourner à l'école.


L'histoire du voleur de carottes

    Il était une fois deux lapins frères qui vivaient avec leur mère dans la forêt. Chaque matin, la mère partait à la recherche de la nourriture en laissant ses petits seuls.

    Un jour, avant de sortir comme d’habitude, la mère lapine a averti ses deux enfants de ne pas quitter la maison pendant son absence. Ils ont répondu : " D'accord, maman." 

    Après quelques minutes de la sortie de leur mère, l'un des deux frères a dit : " Frère, nous avons quatre pattes comme notre mère, alors pourquoi ne pas sortir de la maison comme elle fait, allons-nous promener avant son retour."

    L’autre lapin a accepté la proposition de son frère et ils sont sortis ensemble. Pendant qu'ils marchaient, ils ont aperçu une petite cage qui sentait bon, donc ils se sont approchés pour savoir ce qu’il y avait dedans. Quand ils l'ont ouverte, elle était pleine de carottes, ils étaient contents de trouver leur nourriture préférée, alors ils en ont mangé beaucoup jusqu'à ce qu'il n’en reste qu’une. Puis ils se sont dépêchés de rentrer chez eux.

    Le soir, la mère est revenue, elle était fatiguée et triste. Un de ses enfants l’a interrogée pourquoi elle était triste. Elle leur a affirmé : " j’ai passé toute la journée à ramasser des carottes dans une cage pour vous les apporter, et quand j’étais sur le point de rentrer chez moi, j’ai été étonnée qu'il n'y ait qu'une seule carotte dans la cage et que le reste ait disparu."

    Lorsque les deux lapins ont entendu cela, ils étaient très tristes et ont décidé d'avouer à leur mère ce qu'ils avaient fait en son absence. 

    La mère s’est mise en colère et les a réprimandés pour l'acte de vol. Elle leur a expliqué : "Il n'est pas permis à quelqu'un de prendre quelque chose qui ne lui appartient pas, le vol est un acte honteux et mérite une punition, mais je suis heureuse parce que vous avez avoué ce que vous avez fait."

    Alors, les deux lapins ont regretté et lui ont promis qu'ils ne referaient plus jamais ça et surtout de ne pas quitter la maison en son absence.


L'histoire du fermier farceur

    Il était une fois un fermier trompeur qui a vendu un puits dans sa terre à son voisin pour une grosse somme d'argent. Quand le fermier qui a acheté le puits est venu en puiser l'eau, le fourbe lui a dit : "Va d'ici, homme, car je t'ai vendu le puits, mais je ne t'ai pas vendu l'eau qu'il contient."

    L'homme a été étonné par ce qu'il a entendu et s’est dirigé directement vers le tribunal pour se plaindre au juge de l'injustice du fermier trompeur. 

    Après que le juge a pris connaissance de son histoire, il a convoqué le fermier farceur et lui a demandé de rendre à l'homme son puits, mais il a refusé. Le  juge lui a dit : " Eh bien, si l’eau est à vous et le puits est à votre voisin, alors allez et faites sortir votre eau de son puits." L'homme trompeur est devenu fou et a appris une leçon importante "La tromperie est injuste et elle nuit à celui qui la fait."


L'histoire de la poule dorée

    On raconte que l’un des fermiers et sa femme avaient une poule dorée qui leur mettait chaque jour un œuf d’or et que leur subsistance quotidienne en dépendait.  Ils prenaient l’œuf, le vendaient et gagnaient beaucoup d’argent derrière. 

    Cette situation a duré longtemps mais malheureusement, la cupidité a commencé à dominer la femme du fermier jusqu’à ce qu’une idée malveillante lui vienne à l’esprit, elle pensait que tant que cette poule leur donnerait un œuf chaque jour, il y aurait sûrement beaucoup d’œufs d’or dedans qui changeraient leur niveau de vie et qui leur permettraient de devenir super riches comme des princes.

    La femme a présenté son idée malveillante à son mari dans l’espoir qu’il l’aiderait dans ce qu’elle convoitait. Au début, le mari a fortement rejeté cette idée et lui a dit qu’il était satisfait de leur situation actuelle. Mais sa femme a poursuivi ses tentatives pour le convaincre qu’il y avait un trésor au sein de la poule dorée et le tenter en parlant de palais, de serviteurs et d’une vie heureuse. 

    L’homme a beaucoup réfléchi pourtant, à la fin, il a été convaincu de tuer cette poule et d’en extraire les œufs d’or. Alors, il l’a abattu et lui a tranché le ventre, mais la surprise était choquante! Il a découvert un ventre vide de tout trésor, pas un seul œuf d’or !

    Par leur manque de modération, le fermier et sa femme venaient de perdre leur poule et tous les œufs d’or à venir. Ils ont passé le reste de leur vie à regretter ce qu’ils avaient fait.


L’histoire de l’âne et du cheval trompeur

    On raconte qu’autrefois, il y avait un paysan qui possédait un âne et un cheval. L’âne était actif et obéissant malgré sa petite taille. Quant au cheval, il était paresseux et se plaignait souvent bien qu’il soit plus fort et plus grand que l’âne. 

    En été, lorsque le paysan récoltait son blé, il voulait le vendre au marché de la ville, qui se trouvait à deux jours de marche de son village. Le matin du jour suivant, le paysan partagea le blé en deux charges : l'une lourde pour le cheval, l'autre moins lourde pour l'âne, puis se dirigea vers le marché de la ville, traînant derrière lui ses deux bêtes.  

    Sur le chemin, le cheval a commencé à se plaindre de sa charge en disant : " Mon dos est presque entrain de se séparer sous le poids de cette charge. J'aimerais que nous puissions nous reposer un peu." L'âne lui répondit : " Sois patient, mon ami, et nous nous reposerons quand la nuit tombe." Le cheval se dit : " Tu dis cela parce que ton fardeau est beaucoup plus léger que le mien." 

     A la tombée de la nuit, le paysan campa près d'un arbre, attendant l'aube pour continuer son voyage. Donc, il mangeait, buvait et fournissait du fourrage à ses bêtes. Après, tout le monde s'endormit, sauf le cheval, qui resta éveillé en attendant que ses deux compagnons dorment pour remplacer sa charge par celle de l'âne.  

    Le matin, le paysan chargea les deux montures.  Puis il reprit son voyage.  Sur le chemin, le cheval marchait confortablement car il portait une charge légère, tandis que l'âne marchait et trébuchait de temps en temps à cause du poids de sa charge.  

    Soudain, l'âne tomba d'épuisement et se blessa au sabot. Alors le paysan se précipita vers lui et l'aida. Il réfléchit un peu puis se dit : " Il n'y a pas d'échappatoire, je dois porter tout le blé sur le dos du cheval pour pouvoir continuer mon chemin."

     Ainsi, le cheval trompeur a été sanctionné et forcé de porter tout le blé sur son dos au marché de la ville.  C'est à cause de son égoïsme et de sa tromperie.

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Avoir la tête dans les nuages, synonymes et exemple

La définition de : avoir la tête dans les nuages et une histoire à titre d’exemple

    Il nous arrive parfois de rêver les yeux ouverts, de naviguer à travers nos pensées, de ne pas avoir le réflexe qu'il faut, comme si la tête partait en voyage vers le ciel, comme si elle était dans les nuages d'où vient l'expression d'aujourd'hui.

    « Avoir la tête dans les nuages » est une expression française courante. Elle est employée souvent pour désigner une personne qui a l’air d’être un peu déconnecté de la réalité qui l’entoure. Elle signifie aussi : être rêveur, distrait, avoir l’esprit ailleurs, étourdi, vivre dans un autre monde, perdre le sens de la réalité. Par opposition, on retrouve l'expression : avoir les pieds sur terre.

Synonymes :

-être dans la lune

-avoir la tête en l’air

    Pour apprendre et s’amuser en même temps, je vous propose ci-dessous un exemple sous forme d’une histoire passionnante.

Avoir la tête dans les nuages, synonymes et exemple
L'expression française: avoir la tête dans les nuages 

Une histoire contenant l’expression : avoir la tête dans les nuages

    L'hiver passé, dans un jour pluvieux où le climat était morne, j'étais en voiture avec mon mari en roulant lentement sur la route. Nous étions calmes, je contemplais à travers la fenêtre la beauté de la nature, la pluie qui tombait des cordes et les montagnes couvertes de neige. 

    Après un certain moment, j'avais vraiment la tête dans les nuages, je me voyais là-bas sur ces montagnes blanches entrain de faire du ski avec mes enfants. Ils étaient super contents, s'amusaient et jouaient. 

    Subitement, la voiture s'est arrêtée et je me suis retournée à la réalité. En levant mes yeux, j'ai aperçu un terrible accident, une voiture grise a percuté un arbre. 

    Nous nous sommes couru vers elle mais avant notre arrivée, nous avons observé son conducteur qui est sorti vivant miraculeusement. Il semblait être un vieil homme sage d'après ses habits et sa barbe blanche. Mon mari lui a proposé de l'amener à l'hôpital pour soigner ses blessures, il nous a fait un signe d'acceptation et a demandé l'aide pour pouvoir marcher. 

    En s'éloignant quelques mètre de sa voiture, elle s'est explosé brusquement, j'étais effrayée et mes pieds n'arrivaient pas à me porter, mon mari a essayé de conforter le conducteur mais sa réaction était inattendue, il est resté calme sans dire aucun mot et sur son visage, s'est manifesté un sourire étrange .

Une histoire et une leçon de vie

 Une belle histoire avec morale

Voici une histoire avec morale qui nous rappelle l’importance de l’amour dans la vie et qu’il nous apporte succès et richesse.

Une histoire et une morale
Une histoire et une leçon de vie

La richesse, le succès et l'amour :

Un jour, Une femme a ouvert la porte pour sortir. Elle a aperçu trois vieillards à longues barbes blanches qui étaient assis dans la cour de sa maison.

Elle ne les connaissait pas mais elle les a invités à déjeuner en disant : « Je ne pense pas vous connaître, mais vous devez avoir faim !  Veuillez entrer pour manger."
Ils lui ont demandé : « Le maître de la maison est-il là ? »
Elle a répondu : « Non, il est à l'extérieur. »
Ils ont dit : « Alors nous ne pouvons pas entrer maintenant, nous reviendrons le soir.»
 

Le soir, quand son mari est revenu, elle lui a raconté ce qui s'était passé!  Il lui a dit : « Va voir s'ils sont là et demande-leur d'entrer. » 

La femme est sortie et les a invités une autre fois.
Ils ont répondu qu'ils ne pouvaient pas entrer ensemble dans la même maison. Elle leur a interrogé : « Pourquoi ? »
L'un d'eux lui a expliqué : « Celui à ma droite s'appelle (Richesse), l'autre à ma gauche s'appelle (Succès) et moi je suis (Amour) ». Il a continué en disant : « Maintenant, entrez et discutez avec votre mari de celui d'entre nous que vous désirez. »
 

La femme a transmis à son mari ce qui s'était dit.  Alors son mari a été submergé de bonheur et il a dit : « Quelle bonne chose !  Tant que c'est comme ça, invitons (Richesse) !  Qu'il vienne remplir notre maison de richesse. »
Sa femme n'était pas d'accord en répliquant: « Cher, pourquoi n'appelons-nous pas  (Succès)? »

Tout cela a été entendu par leur belle-fille qui se trouvait dans l’un des coins de la maison. Elle lui a rapidement suggéré en disant : « Ne serait-il pas préférable d’appeler (Amour)?  Notre maison sera donc remplie d’amour ». Le mari a dit : « Suivons le conseil de notre belle-fille ! Sors et invite (Amour) à dîner! »

La femme est sorti et a demandé aux trois vieillards : Lequel d'entre vous est (Amour) ?  Veuillez entrer pour être notre invité.
(Amour) s'est levé et a commencé à marcher vers la maison… En ce moment,  les deux autres se sont levés aussi et l'ont suivi !
 

Surprise, la femme a interrogé  à la fois (Richesse) et (Succès) : « j'ai seulement invité (Amour), alors pourquoi voulez-vous entrer avec lui ?
Les deux vieilles hommes ont répondu : « Si vous aviez invité (Richesse) ou (Succès), les deux autres seraient restés dehors, mais puisque vous avez invité (Amour), partout où il va, nous allons avec lui. Partout où il y a de l'amour, il y a de la richesse et du succès. »



 

Cinq belles histoires courtes avec leçons de morale

 Cinq petites histoires, cinq grandes leçons

L’histoire réelle ou imaginaire, derrière laquelle se cachent des leçons de morale, a souvent un grand impact sur le lecteur. Nous pouvons même être étonnés de ce qu’une nouvelle courte qui ne dépasse pas parfois 200 mots peut nous marquer et nous impressionner.

Si vous êtes amateurs d’histoires et que vous appréciez les leçons qu’elles transmettent, l’article d’aujourd’hui est pour vous! Nous avons rassemblé le top 5 des histoires courtes avec une morale profonde.

Cinq belles histoires courtes avec leçons de morale
Des histoires avec des leçons de morale


L’histoire : 01

Profitons-nous de notre café

Un certain nombre d’amis de l’université se sont réunis après une longue séparation dans la maison de leur ancien professeur. La conversation entre eux s’est rapidement transformée en plaintes concernant leur travail et leur vie. En ce moment, le professeur s’est levé et s’est dirigé vers sa cuisine pour faire du café. 

Il est revenu quelques minutes plus tard avec un plateau de plusieurs tasses dont certaines étaient du cristal, belles et brillantes et d’autres étaient bon marché, en plastique ou en verre pâle. Ensuite, il a invité ses étudiants à se servir et à prendre des tasses de café.

Après que chacun a eu sa tasse, le professeur a dit : « Avez-vous remarqué que seules les tasses bon marché, en verre pâle ou en plastique restaient sur la table, tandis que toutes les autres en cristal chères étaient prises? Il est logique que tout le monde veuille obtenir le meilleur pour lui-même, pourtant c’est cela la cause de tous les problèmes et les troubles de la vie. La tasse, elle-même, n’ajoutera aucune valeur au café. Elle ne changera pas son goût. Elle est souvent juste plus chère et plus présentable ». 

Il s’est tu pendant un moment, puis a poursuivi : « Ce que vous désirez tous, c’est du café, pas des tasses, mais avec cela vous cherchez consciemment les plus belles tasses et les comparez aux tasses de vos collègues! Il en va de même pour vos emplois, vos familles et tous vos autres biens. Ce que vous possédez n’affecte en rien la qualité de votre vie ! »

Alors, nous ne parvenons souvent pas à profiter de notre café, simplement parce que nous nous concentrons sur la tasse qui le contient. Être heureux ne signifie pas nécessairement que tout ce qui nous entoure est parfait. Mais il s’agit plutôt d’être capable de voir au-delà de toutes les imperfections et de trouver la paix et le confort. 

Cette paix se trouve à l’intérieur de nous-même, pas dans la grande maison, ni dans le type de voiture, ni dans le modèle de notre téléphone ou quoi que ce soit d’autre dans notre vie.


L’histoire : 02 

L’argent n’est pas tout dans la vie

Cette histoire raconte qu’un jeune homme qui, dès son plus jeune âge, souhaitait devenir riche  pour pouvoir acheter ce qu’il voulait. Alors, il a fait de la collecte d’argent son but qu’il avait poursuivi toute sa vie. 

Après beaucoup d’efforts et de difficultés, il a réussi à atteindre son objectif et à posséder une grande somme d’argent. En ce moment, ce jeune homme a décidé de  profiter de ce qu’il a recueilli au cours de cette longue période. Il voulait réjouir de sa vie, construire une maison, fonder une famille, avoir des enfants…

Cependant, il s’est soudainement senti fatigué. Il est allé chez un médecin pour savoir la cause de cette fatigue inattendue. La surprise a été affligeante, il a découvert qu’il souffrait d’une grave maladie. 

Ainsi, sa santé se dégradait d’un jour à l’autre, il ne pouvait pas se marier, ni avoir des enfants. Il se trouvait également priver de manger ce qu’il aimait comme les sucreries, la viande et les aliments gras. 

En plus, il ne pouvait pas conduire sa belle voiture suite à une déficience visuelle causée par la même maladie. À cette époque, ce jeune homme regrettait sa vie gâchée à ramasser de l’argent sans en profiter.

C’est pourquoi, il ne faut pas que notre but dans la vie soit seulement la collecte de l’argent parce qu’il ne servira à rien si une personne meurt et n’en profite pas. 


L’histoire : 03

Lorsqu’on donne, on sera plus heureux que de prendre

On raconte qu’un jour, lorsqu’un érudit marchait avec l’un de ses disciples entre les champs et les vastes fermes, ils ont aperçu de vieilles chaussures d’un pauvre homme travaillant dans l’un de ces champs près de la région. 

L’élève s’est tourné vers l’érudit et lui a proposé : « Que pensez-vous si nous plaisantons avec cet ouvrier. D’abord nous cachons ses chaussures, ensuite nous nous cachons derrière les buissons. Ainsi, quand il viendra pour les porter, il ne les trouvera pas et  comme ça, nous voyons son étonnement et sa perplexité ».

 Le savant vénérable a souri tranquillement et lui a répondu : « Mais, mon fils, il ne faut pas se divertir des malheurs des autres pauvres gens. Si vous voulez vous sentir mieux et heureux, j’ai une meilleure idée pour vous. Vous êtes riche et vous avez de l’argent. Que diriez-vous de mettre des pièces d’argent dans les chaussures de ce pauvre ouvrier, puis de vous cacher derrière les buissons et  d’attendre jusqu’à ce qu’il vienne les voir. Vous allez remarquer par vous-même l’effet de cela sur lui. »

Le disciple a été très impressionné par cette proposition et a, en effet, commencé à mettre en œuvre le plan de l’érudit. Alors, il a mis quelques pièces d’argent dans les chaussures, puis lui et son maître se sont cachés derrière les buissons pour observer la réaction de ce pauvre homme.

        Quelques minutes plus tard, un simple ouvrier est venu après avoir terminé son travail à la ferme. Des signes de fatigue et d’épuisement étaient clairs sur son visage. 

        Quand le travailleur s’est approché de ses chaussures pour les porter, il a trouvé les pièces d’argent, il les a contemplés attentivement pour s’assurer qu’il ne rêvait pas. Il a regardé, ensuite, autour de lui dans toutes les directions, il n’a aperçu aucune personne. 

        En ce moment, il s’est mis à genoux en  s’adressant à  Dieu Le Tout-Puissant : « Merci, Seigneur, qui sait que ma femme est malade et que mes enfants ont faim et ne trouvent pas de pain, qui nous a sauvé, moi et mes enfants, de la famine ». Puis, Il a commencé à pleurer et à gémir, remerciant Dieu Le Tout-Miséricordieux pour sa générosité.

L’élève, était énormément touché par cette scène et ses yeux étaient remplis de larmes. A ce moment-là, l’érudit s’est tourné vers lui en disant : « N’êtes-vous pas plus heureux maintenant ? » L’élève a répondu sans réfléchir: « J’ai appris une leçon que je n’oublierai pas de toute ma vie. 

Maintenant, je comprends pour la première fois le sens des mots que j’ai lu beaucoup, mais que je n’ai jamais compris : Lorsque vous donnez, vous serez plus heureux que de prendre. »

 

Vous pouvez lire aussi l’histoire : « Faites le bien vous le trouvez »


L’histoire : 04 

Le moment où le regret est inutile

Il était une fois, un bûcheron vivait dans une petite cabane près de la forêt, avec son enfant et son chien. Chaque jour, à l'aube, Il allait ramasser du bois de chauffage et ne revenait qu'avec le coucher du soleil, laissant le petit enfant avec le chien aux soins de Dieu. En effet, il avait une grande confiance en son chien qui était de son tour fidèle à son maitre et l'aimait beaucoup.

Un jour,  en revenant de son travail après une longue journée fatigante, le bûcheron entendit de loin, inhabituellement, des aboiements d’un chien. Il s'est précipité jusqu'à ce qu'il arrive à sa maison, c’était son chien qui aboyait d'une manière étrange, en plus sa bouche et son visage étaient tachés de sang. 

Le bûcheron a été choqué par cette scène et la première pensée qui lui est venue à l’esprit, était que le chien l'avait trahi et avait dévoré son fils. Alors, il a retiré sa hache de son dos et a frappé le chien  entre les yeux, ce dernier est tombé mort sur le coup. 

Ensuite, il s’est entré, rapidement, dans la cabane pour voir ce qui reste de son enfant dévoré. Mais la surprise était énorme, son fils était sain et sauf  jouant  sur son lit et près de lui un énorme serpent, couvert de sang, était mort après un dur combat. Il s'est effondré à genoux et ses yeux se sont remplis de larmes. 

Le bûcheron pleurait le plus pour son chien qui aboyait de joie en sauvant le petit enfant du serpent et au lieu de le remercier, il l’a tué sans réfléchir.

C’est pourquoi, Lorsque nous aimons les autres et leur faisons confiance, nous ne devons pas interpréter leurs comportements  et leurs paroles selon notre gré et nos caprices ou dans  un moment de colère,  le moment où nous  pétons un câble et notre contrôle nerveux est absent. 

Attendons et ne soyons pas pressés de juger, rappelons-nous le bien qu’ils ont fait  et les moments heureux que nous avons passés avec eux. Nous pouvons perdre des personnes qui nous aimaient vraiment mais nous en prendrons conscience que plus tard, qu’à un moment  où le regret est inutile.


L’histoire : 05

La chance ne peut venir qu’une seule fois

Il était une fois, un fermier paresseux n’aimait pas travailler dans les champs. Il passait ses journées allongé à l’ombre d’un grand arbre. 

Un jour, détendu sous l’arbre comme d’habitude, il a aperçu un renard entrain de chasser un lapin. Soudain, une forte collision a été entendue. Le lapin a heurté le tronc de l’arbre et il est mort sur le coup. Le fermier l’a immédiatement pris, laissant le renard indigné.

Il est allé chez lui, a abattu le lapin, a préparé un délicieux dîner avec lui et le lendemain, Il a vendu sa fourrure dans le marché. Il a pensé en disant : « Si je pouvais avoir un lapin comme celui-ci tous les jours, je n’aurais plus jamais à travailler dans les champs ». 

Le jour suivant, le fermier est allé au même endroit et s’est allongé sous le même arbre en attendant qu’un autre lapin frappe son tronc.

Au cours de sa journée, il avait déjà vu plusieurs lapins, mais aucun d’entre eux n’a heurté l'arbre, et ce qui lui est arrivé la veille était une coïncidence vraiment rare. Mais il s’est dit : « Oh ça va, j’ai encore une autre chance demain ! » et c’était comme ça pendant des jours, des semaines et des mois. 

Négligeant son champ et s’allongeant en attendant qu’un lapin se suicide, les mauvaises herbes poussaient dans le champ et gâchaient les cultures. Le fermier finit, enfin, par mourir de faim, car il ne trouvait pas quoi manger et ne pouvait attraper aucun lapin.

Donc, il ne faut pas perdre notre temps à attendre les bonnes occasions de frapper à notre porte sans rien faire. Ne devons pas confier notre vie à la chance sans travailler dur pour réussir.

 

Une histoire réelle avec une morale

 Une histoire intitulée : Faites le bien vous le trouverez

Les histoires qui sont racontées en général, qu’elles soient réelles ou imaginaires, visent à transmettre des leçons aux enfants et aux adultes.

L'histoire d'aujourd'hui est merveilleuse. Elle peut sembler irréelle à de nombreux lecteurs, mais elle est passée réellement dans la vie et ses événements sont très impressionnants.


Une histoire réelle avec une morale
Une histoire : Faites le bien vous le trouverez


L'histoire :

Faites le bien vous le trouverez


On raconte que par une nuit très froide et orageuse, il y avait un jeune médecin qui veillait aux urgences d'un petit hôpital. Soudain une vieille femme est entrée. Elle avait des indices évidents de stress et de maladie. Les signes de fatigue, d'épuisement et de manque de sommeil étaient clairs sur son visage. Elle paraissait que le temps avait pris son rire et son énergie.


Le médecin s'est approché de la patiente et lui a interrogé : «  Dites-moi, madame, qu'est-ce qui vous fait mal ? » La femme lui a répondu d'une voix faible et fatiguée : « Je pense que le  taux du sucre dans le sang et la pression artérielle sont élevés ». Le médecin lui  a souri calmement en lui répondant : « Ok, commençons l'examen tout de suite… » En ce moment, le téléphone du jeune homme qui accompagnait cette femme a sonné. Il est sorti de la salle d'examen en s'excusant poliment jusqu'à ce qu'il réponde au téléphone.


 Après quelques minutes, il est revenu les yeux pleins de larmes sans rien dire. Puis, il a interrogé avec intérêt le médecin sur l'état de la patiente. Ce dernier lui a expliqué qu'elle avait besoin d'insuline et qu'il n'était pas disponible dans ce petit hôpital. Le jeune homme a dit : « Je vais l'apporter immédiatement de la pharmacie ». La femme lui a adressé la parole : « Mais, il fait très froid dehors. Je ne veux pas que tu souffres assez pour moi. Il suffit ce que tu as fait jusqu'à présent. » Le jeune homme lui a répondu sans réfléchir : « Ta santé est importante », puis il est parti.


Le médecin s’est adressé à la vieille : « Ne t'inquiète pas, c'est son devoir de s'occuper de toi. Tu es sa mère! ». La femme étonnée lui a répondu : « Mais, je ne suis pas sa mère. Je venais ici à pied par ce temps froid pour économiser les frais de transport .Alors ce jeune homme a arrêté sa voiture près de moi et m'a proposé de me conduire à l'endroit que je voulais. En plus, il est allé me ​​chercher les médicaments et il va surement les payer de sa poche ! »


Au bout de quelques minutes, le jeune homme est revenu avec l'insuline. En entrant dans la pièce, le téléphone a sonné de nouveau. Donc, il est sorti pour répondre.  Mais cette fois ci, il est revenu  avec un large sourire sur le visage en répétant : « Louange à Dieu, louange à Dieu, merci Seigneur, mille louanges et mille remerciements… » 


Le médecin n'a pas pu retenir sa curiosité et lui a demandé : « Qu'est-ce qu’il y a ? ». Alors il lui a dit : « Je travaille ici seul et ma femme vit dans un autre pays. Elle est enceinte après sept ans de mariage. Aujourd'hui, c’est la date de son accouchement. Elle a beaucoup saigné et au premier appel, on m’a dit que son état était grave, qu'elle avait besoin de sang et qu'il n'y avait pas son groupe sanguin à l'hôpital. En allant à la pharmacie pour apporter l'insuline, j’étais trop inquiet. J’ai priais Dieu Tout-Puissant pour qu’il  la protège et sauve mon prochain bébé. Lors du deuxième appel, on m’a informé que tout d’un coup, trois personnes de l'association : « don de sang » sont entrées avec des poches de tous les groupes sanguins pour les offrir à l'hôpital. Ainsi,  ma femme et mon bébé ont été sauvés. Ils sont maintenant en parfaite santé, louange à Dieu ». Stupéfait, le médecin lui a dit : « Le bien que tu as fait à cette dame t'est revenu avec bienveillance. »